Premières expériences et engrenages : Chapitre 63 : Trahison

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il y a 1 an

Chapitre 63 : Trahison

Vincent mon ami d’enfance !

  • Salut, comment tu vas ? me dit-il simplement, comme si nous nous rencontrions par hasard dans notre rue, à une vingtaine de kilomètre de là.

Que faisait-il ici ? Avait-il suivi la veille Ladyscar ? S’était-il fait attraper ? Avait-il négocié pour servir de garde-fou, si cela dégénérerait ?

  • Je vois que tu t’es déjà bien amusé, poursuivit-il en s’approchant de moi. Tu devais me prévenir pour que je ne m’inquiète pas. Tu te rappelles ?

  • Oui, acquiesçai-je. Mais je ne sais pas comment j’aurai pu.

  • C’est une excuse ? dit-il.

Son ton avait changé. J’allai bien. Je n’avais pas besoin de lui. C’était en même temps rassurant et dérangeant de le savoir ici.

  • Que fais-tu là ? demandai-je un peu perdu.

  • C’est Ladyscar qui m’a invité la semaine dernière. Vendredi dernier exactement, quand elle m’a envoyé les photos de toi.

  • Avant que tu ne m’en parles ? me rappelant qu’il n’avait dit n’en avoir reçu qu’une et n’avait jamais parlé de contact avec elle.

Il ne me répondit pas. C’était inutile. Il savait déjà qu’il serait là, avant même qu’il ne me montrât la photo sur son téléphone. Il avait déjà parlé à Maîtresse et pire, elle l’avait invité.

  • Oui, finit-il par avouer. Nous avons discuté de tes passions homosexuelles, précisa-t-il en me caressant le dos.

  • Je n’en ai pas, démentis-je.

  • De tes passions refoulées, je voulais dire. Celles que tu ne veux pas nous avouer, précisa-t-il.

  • Je n’en ai pas, démentis-je à nouveau, cette fois avec beaucoup moins de convictions, alors que sa main se promenait sur mes fesses, glissant sous la culotte de dentelle.

Je ne pouvais que bouger le haut du corps, peut-être même me redresser si Lady Christine ne tenait pas mes cheveux. Il aurait fallu que je tire très fort pour que les pinces s’enlèvent. Mais qu’avais-je lu déjà sur ces pinces japonaises ? La pression augmentait si on tirait dessus ? Elles ne s’enlevaient pas en tirant ?

  • Ladyscar me disait que, pour une première fois, c’était mieux avec quelqu’un en qui on avait confiance, quelqu’un qu’on connaissait, pour qui on avait des sentiments.

  • La première fois de quoi ? commençais-je à réaliser, alors qu’il jouait maintenant avec la queue du plug en des mouvements de va-et-vient que j’avais déjà connus quelques dizaines de minutes auparavant dans le froid, par un inconnu.

  • Ton dépucelage homosexuel, ton dépucelage du cul. Le fourrage de ton trou par une bonne queue masculine bien dure, faite de chair et non de plastique.

  • Je ne veux rien me faire dépuceler. Je n’ai même jamais fait l’amour avec une femme, l’implorai-je maintenant, comme un argument salvateur.

  • Tu n’auras rien à faire. Je m’occupe de tout.

  • Vincent ! Non ! Je ne veux pas !

  • Oh si tu le veux. Tu le veux depuis que tu sais que je suis attiré par toi. C’est juste que tu avais honte, de ce que l’on t’avait enseigné, que l’homosexualité c’est mal. C’est juste que tu ne sais pas comment m’en parler, comment me le demander, poursuivait-il, sa main se glissant dans le creux de mes fesses.

Maîtresse Diane, tapait des mains. Lady Christine avait enlevé mon bâillon-boule pour que je m’exprime plus facilement. Elle voulait m’entendre le supplier, le prier, l’implorer. Elle troqua ma couette contre la laisse, plus facile à tenir et lui permettant de me regarder en face. Elle tirait dessus si fort, à m’en démettre le cou, qu’elle me colla sur la table, relevant un peu plus mes fesses, comme une incitation pour Vincent.

  • Tata Marguerite a un petit jeu pour toi, me dit Maîtresse Diane, toujours obsédée par ces amusements.

  • C’est simple, intervint-elle. Quand nous te ferons deux propositions, tu devras en choisir une. Il n’y a pas plus simple, n’est-ce pas. Si tu ne le fais pas, tu seras punie deux fois. D’abord tu subiras les deux propositions et ensuite, on tirera au sort un des valets que tu as pu rencontrer dehors pour te faire ce qui lui fera plaisir.

  • Si je ne veux pas jouer ?

  • C’est ça que tu veux, satisfaire tous mes valets, dit Maîtresse Diane. Pour une première fois, tu me sembles bien gourmande.

  • Alors tu as bien compris enchaina Lady Christine. Si tu ne veux pas que cela arrive tu dois répéter la proposition que tu as choisis. As-tu bien compris ?

  • Oui, Maîtresse, assurai-je.

Tout pour ne pas avoir de relations avec ces hommes, mon Dieu. Ladyscar était bien silencieuse depuis que j’étais rentré. C’était sa faute si Vincent était là, avec sa main qui ne quittait plus mes fesses.

  • Premier couple de phrase, commença Tata Marguerite. Je veux que Vincent me défonce le cul ou je veux que Vincent m’enfonce sa bite au fond de ma gorge.

Quoi ? J’étais pris au dépourvu. Ni l’un, ni l’autre bien sûr. Les phrases étaient crues. Si je pouvais les entendre, je n’arriverais pas à les prononcer. Qu’est-ce qui était le pire d’abord. Dans le cul, c’était moins grave. Il mettrait un préservatif, un lubrifiant.je ne sentirais même pas la différence avec le gode d’hier. Le plug était là depuis si longtemps, que je ne sentirai probablement r…

  • Trop tard, dit Tata Marguerite.

  • Le cul, essayai-je de me rattraper. Je veux qu’il me défonce le cul.

  • Trop tard, j’ai dit. Tu auras le droit au deux, plus un des valets. J’espère que ce ne sera pas José, sinon tu regretteras vraiment d’avoir hésité.

  • Non. J’ai dit que Vincent me l’enfonce dans le cul.

  • Quoi ? Tu contestes ? Désire-tu une seconde punition ? dit Lady Christine.

  • Non maîtresse… Je suis désolé maîtresse.

  • Tu sais ce qui se passera si tu es encore insolente ?

  • Non, maîtresse.

  • On inversera l’ordre et Vincent t’enculera avant de te la mettre dans la bouche. C’est la merde de ton cul qui t’excite. C’est cela que tu veux bouffer ?

  • Non maîtresse. Je suis humblement désole. Je ne contesterai plus, maîtresse. Je suis ravi que Vincent me l’enfonce dans la gorge avant de me défoncer le cul, dis-je en m’efforçant de répéter les termes exactes des propositions.

  • Et je mérite aussi la punition que voudra m’accorder un des valets.

  • Et je mériterai aussi la punition que me donnera un des valets, répétai-je.

J’étais incapable d’enregistrer les mots exacts, tant mon cerveau essayait de reprendre le contrôle, alors que je ne voulais qu’exécuter au plus vite et en finir, avant d’avoir hérité de suffisamment de punitions pour me bloquer un weekend supplémentaire. J’entendis alors ma propre voix légèrement électronisée répéter :

  • Je suis ravi que Vincent me l’enfonce dans la gorge avant de me défoncer le cul, émettait en boucle l’enregistrement, avec ma voix, probablement capté par un téléphone.

  • Bien, alors si c’est clair maintenant, dit Vincent derrière moi.

J’entendis la fermeture éclair de son pantalon s’ouvrir et ce dernier glisser sur le sol, tomber à ses chevilles.

  • Dans ma bouche d’abord, rappelai-je les conditions avant de me rendre compte de ce que j’hurlais et de ses implications.

Des mots, de leur signification ! Ce n’était pas moi qui criais ainsi ! Ce n’était pas comme si tu ne t’y étais pas attendu, me soufflait une voix dans l’oreille. Je voulus démentir, mais c’était la voix de ma conscience et non plus celle d’une dominatrice, et on ne lutte pas contre elle. Était-ce vraiment ce que je voulais ? Non. Cela ne se pouvait pas. Ce ne pouvait être que quelqu’un d’autre.

C’était Lassie ! Oui. C’était Lassie qui sollicitait cela, pas moi !

J'attendais Nathalie moi 🥲
Désolé, encore quelques épisodes
Prochain chapitre https://fessestivites.com/recit/198215
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